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Voici le coucher de soleil que j'ai pu voir du jardin il y a 1/2h. Il parait que de l'hôtel c'était splendide!

Tamarina.

  Aujourd'hui, nous sommes allés au golf à Tamarina, pour la première fois. C'est un joli coin avec une belle vue sur "notre" Tourelle. Nous avons commencé par le 10... pour quelque raison que ce soit. Du 10 au 18 le parcours est mouvementé:

   comme le trou numéro 13 qui fait ..."une chute". J'adore ce genre de trou. Il y en avait un à Breadsall Priory et c'était mon préféré. Sur ce trou il y a des soucis d'entretien, donc les jardiniers essaient de dégager des arbres et les brûlent sur le côté.

  Nous jouions avec Raphaël, golfeur alsacien qui séjournais aux Pavillons.

  Il nous a fallu 2 h 1/2 pour faire les 9 "premiers" trous; puis nous avons poursuivi en "recommençant" au numéro 1 pour finir au numéro 9 en plus de 5 heures! La voiturette n'est pas un luxe vu la longueur du parcours (pro 6886 m, membres 6077 m et femmes 5178 m) mais aussi la distance entre chaque trous. A ceci bien sûr il faut rajouter la chaleur (30˚ ce jour).

  En fait, on n'a pas reçut nos club avant mi-janvier, mais nous n'aurions pas vraiment joué avant fin mars début avril car les températures de 33˚ plus le taux d'humidité sont difficiles à supporter. On aime le soleil, mais on n'a pas envie de rôtir et cuire!

  Depuis que j'ai pris une lesson avec Sylvia la pro allemande ici, je me suis bien améliorée; plus de fluidité, de corps avec le mouvement et moins de tensions dans les bras. Du coup je me fais encore plus plaisir. Bien sûr, il me faudra peaufiner tout cet acquis mais mon but est d'atteindre les par + 2 et j'ai fait 5 double boggey et 2 boggey ... plus quelques balles perdues..!

  Bravo Sylvie! et bravo les gars.

Parc Naturel de Riviere Noire.

   Nous étions 12 à partir ce matin dans les gorges. N'y étant encore jamais allée, j'attendais de faire la connaissance de ce coin avec des "experts" car les panneaux indicateurs se font rares et ils n'ont pas peint les pierres comme en Chartreuse. C'est peut-être moche selon certains, mais quand on ne connaît pas et bien c'est un bon repère et c'est rassurant.

   Au départ c'était plutôt plat, puis on a démarré un bonne grimpette bien raide 1/2h durant. Nous nous sommes arrêtés pour observer d'un  point de vue les chauves-souris pendues dans les arbres au fond des gorges.

   Ces Roussettes Noires (preropus niger) sont endémiques de Maurice. Dans le passé il y en avait à Rodrigues mais elles ont disparues. A la Réunion elles avaient aussi disparues, mais il y a quelques années elle sont réapparues, pensent-t'on venues de Maurice.

  Elles sont aussi appelées "Renard volant endémique" et sont frugivores ce qui posent des problèmes à ceux dont le métier est maraîcher-fruitiers. Rien à voir avec nos mini pipistrelles puisqu'elles font environ 1 mètre d'envergure!

  Le Privet (ligustrum robutrum) est cet arbre que l'on trouve un peu de partout. A l'origine il a été implanté comme ornement, puis pour protéger les conifères des cerfs et comme bois de chauffage. Le problème est qu'il s'est un peu trop bien adapté et que de nos jours il est envahissant et fait parti des espèces que les conservationnistes essayent d'éliminer. D'après "mes" mauriciens, son nom vient du fait que l'arbre était mis vers les toilettes (private) car ses petites fleurs sentent bon.

   Chamarel, terre des 7 couleurs n'est pas bien loin et l'on peut observer ces contrastes dans le parc.

   Ce qu'il faut savoir c'est que l'on ne peut guère éviter la traversée des ruisseaux sans se mouiller les pieds. Mercredi dernier le violent orage de la nuit n'a pas amélioré cela et à même changé le décor comme ici où les rocs ont été transportés et sont désormais sur la route.

  Mieux vaut avoir à traverser les pieds dans l'eau, comme on l'a fait, en fin de promenade car sinon cela ne doit pas être très plaisant de marcher les pieds trempés. Si vous venez, déchaussez vous et ayez une serviette pour vous sécher car je crains que le "bain de pied" ne soit inévitable et ce à plusieurs reprises!

A la pêche aux... coques, coques, coques...

  ... je veux y aller maman...  

  J'écrivais cet article en anglais en premier et j'ai réalisé que pêcher utilise le mot " to fish" genre "poissonner" si on traduit littéralement. Et un poisson cela vie dans l'eau donc on peut trouver bizarre d'aller "poissonner'' dans le sable. Vous me suivez?

  Bon comment suis-je arrivée là? En fait le jour d'avant j'étais en journée plage à l'hôtel avec Sandra, femme du chef, et elle a émis l'envie de manger des coques au dîner du lendemain. Comme je ne connaissais pas, j'ai suivi. Le lieu de la pêche fut la plage à marée basse de l'hôtel Paradis, le long du golf. D'ailleurs, quand j'avais joué au golf il y a quelques semaines, j'y avais vu des dames accroupies avec des sceaux, mais je n'avais pas regardé ce qu'elles avaient dedans. 

  La plage étant publique, un hôtel ne peut pas refuser l'accès par son entrée principale donc nous sommes passés par la grande porte ... avec les encouragements des gardiens.

   J'avais un espèce de mini piochon pour "râteler" le sol. Pas besoin d'aller bien profond; d'ailleurs mieux vaut ne pas car la mer n'est pas loin et l'on "s'inonde" vite! J'ai gratouillé environ 1 h 15 mn et ai trouvé 19 palourdes. Peut-être que cela ne parait pas beaucoup, mais il faut dire qu'en même temps on papotait donc j'ai du mal à faire plusieurs choses à la fois. Mieux vaut lentement que pas du tout!

   A la fin, ils (Sandra et famille) m'ont posé aux Pavillons pour mon dimanche traditionnel et sont rentrés à la maison avec un seau à moitié plein. Il semble qu'il restait encore un bon boulot pour nettoyer les coquillages car il y a énormément de sable et il faut faire plusieurs rinçages. Ensuite, la préparation se fait comme les moules marinières dans une grande cocotte avec du vin blanc. Sandra en prépare dans la coquille avec une persillade et les mets au congélateur pour les utiliser lors d'un apéro. Meilleur que les cacahuètes non?!

Ah j'ai vu, j'ai vu...

  En fait, C'est plutôt "on a vu on a vu" car il suffit d'être sur la terrasse et d'observer le jardin et nous en avons tout quatre profité à différents moments.

  Le matin c'est un régal de voir les moineaux qui se pointent dès que l'on ouvre la porte fenêtre car ils savent que l'on va petit déjeuner et avoir du pain. Régulièrement il y en a un qui rentre dans la maison.

   Plusieurs fois ces dernières semaines des perdrix sont venues dans le jardin. Elles sont jusqu'à 4 qui se suivent. Elles sont méfiantes donc ce n'est pas évident de les photographier.

  Oh, un dodo en costume de perdrix! La façon dont elles  courent est assez rigolo, mais elle volent bien sur.

   A notre grande surprise, est apparu le mur une mangouste, puis une autre et un 3ème. C'était la première fois que l'on en apercevait. Elles sont descendues dans le jardin et...

se sont mises sous les bougainvilliers. Pas revues depuis!

Ce n'est qu'un Au Revoir...

   Ma fleur est partie, une larme à coulée, elle est si belle et j'en suis si fière.

   Je t'offre cette photo du coucher de soleil que l'on a vu ensemble. Pour la photo, on était en place avec nos yeux et l'on a voulu immortaliser cette mer dorée. L'appareil étant resté près du bar Nautile, c'est au pas de course dans le sable que nous sommes parties légères, légères... enfin au début car si vous avez déjà couru dans le sable vous saurez que 300m équivalent à 600 tant le pied s'enfonce légèrement ce qui rend la course un réel effort. Le retour vers ... le bon poste d'observation se fût donc par l'herbe. Vite le temps presse et le soleil baisse! Le résultat en valait la peine. 

  Cadeau!

  Quinous, je vous aime et ma gorge se sert en pensant à vous qui étiez si près et qui êtes déjà si loin. Le temps passe et vous entrez doucement dans le monde adulte. Je suis si fière de vous.

Un petit dernier,

  Puisque le séjour de Célia se terminait, nous avons fait une dernière après-midi plage aux Pavillons et l'on s'est fait plaisir avec le cocktail Virgin Colada dans une noix de coco. En fait tout est dans le plaisir d'avoir un noix de coco pour verre.

  Célia a pu reprendre un bonne dose de soleil pour rentrer toute belle à croquer!

   Boire avec une paille, il  faut vraiment que j'ai un cocktail pour cela. J'ai passé de doux moments avec chacun des enfants individuellement et je chérirai ces moments dans mon coeur et ... sur mes photos... de même que tout ce que l'on a pu faire en presque 4 semaines.

  Je vais vous donner un truc pour avoir l'air de passer plus de temps à l'hôtel. Plutôt que  7 nuits/8 jours dans un endroit et bien faites 3 mini séjours de 2 ou 3 nuits ainsi vous aurez 7 nuits mais au total 10 jours (3n/4j + 2n/3j + 2n/3j) rien que du bonheur!.

   Pascal a pris son jour de congé et chaque fois c'est vacances donc nous avons fait barbecue avec langoustes et piscine à la maison. Célia a pu parfaire son bronzage pour le retour de demain.

Il était une fois ...

  Maurice

  Voici une carte situant Mondrain, zone de notre balade. Comme dirait Paulo: "ils n'ont pas mit le nord au nord!"... sur la feuille... Et là j'approuve totalement car c'est déroutant pour se situer et l'on est obligé de tourner la feuille.

  Tout près de la maison (la mienne) il faut avoir le passe de Bassin pour accéder puisque cela se trouve au milieu de leur propriété. On avait une jolie vue sur la montagne des Remparts et des 3 Mamelles, de même que sur la Tourelle de Tamarin et au loin du Morne avec tout le lagon.

   Mr D'Argent 84 ans (en chemise bleue) nous a guidé lors de notre promenade "martédicale". Nous étions à Le Mondrain qui est devenu une réserve naturelle qui recréait la flore endémique de Maurice.

  Il était une fois Dr Wendy Strahm venu à Maurice avec le WWF pour participer à la sauvegarde des plantes typiques au pays, ce qui consistait et consiste toujours à retirer toute plante éxotique (pas propre à  Maurice). Elle parti en 1993, mais resta Mr D'Argent retraité après 40 ans dans les forêts et qui l'avait rejoint en 1984 dans ce projet.

  La pauvreté du sol est tel les arbres poussent très lentement et la plupart font moins de 6 mètres.

  La Société Royale a trouvé cet Hibiscus Genevii espèce rare en voie totale de disparition. Elle demande donc au propriétaire , la Sté Sucrière de Médine, si elle peut protéger cette zone et donc avoir le terrain. En 1979 une zone de 5 hectares entre 500 et 530 m fut donc offerte à la Société Royale des Arts et des Sciences pour Rs 2 symboliques par an avec un bail de 30 ans renouvelable.

  J'ai perdu le nom, mais la couleur était si intense que j'ai souhaité la partager avec vous.

   Je n'ai pas encore trouvé le nom scientifique mais cet arbre est un Bois Cyclone ou Bois de Rivière. Il ne fleuri qu'en une seule occasion. Durant un cyclone, il perd toutes ses feuilles mais résiste et ne meurt pas et après il "renaît" et se met à fleurir.

   Nous avons vu le Bois Boeuf, Carotte, Queue de rat, de Natte, Balais, Pomme, Banane, Mort aux Rats... et voici le Bois Tambour appelé aussi par les locaux Pot de Chambre du à sa forme. Son fruit est assez étrange et "éclate" pour laisser échapper les graines pour se reproduire.

   En conclusion, je comprends pourquoi les Hollandais avaient quitté l'île car dans cette forêt il n'y a rien de vraiment "nourrissant" et Maurice avant l'homme ne devait pas vraiment "nourrir son homme"! Il nous fallait regarder les goyaves de Chine de France (les jaunes) de derrière les grillages. Une fois la ballade fini et la barrière repassée nous avons foncé sur les goyaves pour manger et aussi mettre dans le sac. J'en ai fait un pot de confiture. Miam!

Pour plus de plaisir!

En fait on s'est apercues qu'avec une barque dans le champs de vision cela créait une bell image plutôt romantique.

Pour le plaisir!

  Ces derniers jours nous avons eu la chance d'avoir de beaux couchers de soleil donc ne nous en privons pas de ces vues rougeoyantes. Ce soir là, nous étions sur la plage de Tamarin.

  Etant en horaire d'hiver, le soleil se couche désormais vers les 18 h, et comme l'on est au 20 ème parallèle, la nuit tombe soudainement en 20/25 minutes. Moi, je ne me suis toujours pas décallée et en général je tombe de sommeil dès 20h30!... 

C'est par là la sortie...

   Et voilà, notre "bouchon" a terminé son séjour de 3 semaines et demi parmi nous et contre les grilles de l'aéroport nous avons trouvé le panneau qui lui indiquait "son" chemin. Choisit la bonne voie mon amour et à bien vite.

 Je t'offre ce coucher de soleil que tu reverras c'est sur. Heureusement que Skype est là pour garder le contact visuel et auditif.  Bonne fin d'année universitaire, nous t'aimons très fort.

Plongée=Padi

  C'est en fin de séjour, veille de son départ... mais rassurez-vous plus de 24h avant son vol qu'Anton-Emmanuel va faire sa dernière plongée en vue de terminer son Padi. Ces derniers jours les sorties n'avaient pu se faire pour cause de mer trop agitée. D'ailleurs elle l'est encore un peu, ce qui fait que le patron du centre Emanuele plongera avec Anton-E pendant que les autres seront avec l'autre instructeur.

  Il a fallu montrer la préparation et la vérification du matériel. Ensuite, c'est en route pour le bateau,

  et un nouveau site "la passe St Jacques". 3 fois il est allé dans ce qu'ils appellent l'aquarium où il y a beaucoup de poissons mais où il ne descendait que vers 12 à 14 mètres.

  Retour gagnant en tout points. Padi réussi et vu 2 raies et un requin au loin... plus les dauphins qui ont accompagnés sur un bout de chemin le bateau.

  Dixit Emanuele, les conditions étaient plutôt difficiles avec de forts courants et notre "bouchon" s'est très bien débrouillé. Ne lui dites pas mais il a utilisé le mot "doué", laissons-le modeste... et ponpon!!

  Oui, donc il est descendu pour le carnet de plongée à 16 m, mais en fait ils ont poussé jusqu'à 22.9 m selon "sa montre". Et encore, il a fallu qu'Emanuele freine l'enthousiasme d'Anton-E qui serai bien descendu plus quand il a aperçu le requin pour le voir de plus près. Sécurité avant tout on ne peut pas brûler les étapes.

  Au retour en surface il a du pratiquer une remontée d'urgence, pendant laquelle il faut faire du bruit pendant les 25 secondes au moins que durent ces 8 mètres en vue d'éviter d'abîmer les poumons. Exercice réussit et diplôme accordé.

  Et c'est un Anton-Emmanuel radieux que j'ai retrouvé sur la plage.

Tagada, tagada, voilà les Daltons...

  Et voilà, nous avons passé 4 jours et 3 nuits de vraies vacances. Nous voici prêts à repartir chacun dans sa propre voiture, chacun avec un enfant. Il nous faudra 1h pour 60 km pour passer du sud-est à l'ouest. 

  Le soir, Mervin (responsable F&B ancien des Pavillons) nous a convaincu de rester essayer le restaurant Le Boucanier. Parfaite fin d'un séjour parfait. Le repas fut a nouveau exellent avec de l'originalité dans l'assiette (un mini barbecue pour finir soit même la cuisson du plat). Trop sympa!

   En cours de repas en lumière tamisée, un spot s'est allumé d'un coup au dessus de Pascal.... ce qui "l'a fait réagir!!"...

Le Shandrani, on ne s'en lasse pas.

   On ne pouvait pas venir sans dire un petit bonjour à Tony la tortue des Pismont. Il (c'est un monsieur) a une bonne dizaine d'années. Tous vont bien dans la famille, les lapins compris. Sophie (3eme) et Claire (2nde) sont de bonnes joueuses de tennis et c'était sympa de les revoir le temps d'un apéro avec Anne aussi.

  Le soir, nous avons mangé au Syrius un bon repas bien présenté.

 Promis, je n'ai pas trop bu; Anton-E a fait un effet artistique de photographe!

 

 Célia a eu un plat de poisson servi dans un morceau de bambou ce qui est très original et attractif.

On n'est pas la pour lézarder!!!

  La joie fut grande de se retrouver sur le ponton pour faire du ski nautique. C'est un endroit assez convivial car tout le monde vient s'inscrire et attend ... assez longtemps... son tour. Du coup on engage la conversation avec toutes sortes de gens, français anglais ou allemands puis l'on se revoit aux alentours et l'on se fait un petit coucou ou l'on discute un peu plus comme des amis. Cet hôtel est vraiment celui des renouvellements ce qui fait que l'on a retrouvé des gens, jeunes et anciens, qui étaient déjà là 3 ans auparavant. Eux bien sur viennent tous les ans ou presque mais sûr, on y retournera l'année prochaine nous aussi. Ce fut une joie que de voir notre "sauvageons" avoir tant d'enthousiasme à reconnaître et retrouver ses copains. Anton-E a tant changé cela fait plaisir à voir. 

  Déjà le soleil a fait son effet et les peaux ne sont plus aussi blanches.

  Chaque après-midi est organisé un match de water polo qui est très populaire et ni Anton-Emmanuel, ni Célia ... d'un peu plus à l'écart... ne l'auraient manqué. Pour une maman qui regarde, ils se fricotent un peu trop à mon goût et j'ai toujours peur que cela soit trop brusque, mais côté enfants, c'est juste parfait. Un bon moment, un merveilleux souvenir.

  Alors que Célia a progressé de manière incroyable en wake, Anton-Emmanuel, encouragé par tous ses copains à l'oeuvre, a enfin (d'après sa maman) essayé le mono-ski. Il n'a mis que 2 ou 3 coup pour démarrer à l'aise et est sorti très vite de la vague. Chapeau!

  Après l'effort, le réconfort dans l'immense baignoire... sans oublier d'être passé par le bar prendre notre cocktail.

Shandrani, un retour aux sources.

   La chambre 310 en fait s'est révélée être un duplex. Jean-Louis nous a totalement gâté en  nous mettant dans "un petit palais". En voici quelques photos:

  Jardin privatif et devant de notre "chambre 310" vu de la plage.

  L'escalier est de toute beauté et en entrant comme on ne s'y attendait pas, cela nous a bluffé!

   Le duplex comprends un grand salon avec coin repas et cafetière Nespresso.... très bon pour moi le soir pour me booster et éviter de m'endormir de trop bonne heure.

  La chambre du bas a un lit pour géant et une immense avec une salle de bain gigantesque comme celle du haut.

Joyeuses Pâques

  Pâques oblige nous avons ... et oui ils ne sont plus des mômes mais on réclamé... fait la chasse aux oeufs. Pas dans le jardin car il aurait suffit de suivre les fourmis à la trace mais dans la maison et sous la varangue.

  Les enfants ont aussi eu droit au lapin des Pavillons.

  En cadeau le beau coucher de soleil que l'on a pu observer de l'hôtel.

  C'est la première fois que je le voyais aussi dégagé, cela donne des couleurs magiques

Tamarin

  Je vous présente Tamarin la ville où l'on habite à l'ouest. La baie a une grande ouverture sans barrière de corail et c'est la raison pour laquelle les dauphins peuvent venir facilement dans la zone de Rivière Noire et Tamarin pour se nourrir et... faire plaisir aux observateurs. Pas de dauphins en vue ce jour là!

  Notre maison est cerclée. Les "miroirs" c'est la petite saline.

  Sur la plage, quand la mer brasse trop elle déracine les Amba Filao ce qui laisse une vue dévastée de la zone. Ceci fut l'oeuvre de Gaël. Une fois ses racines à nues, l'arbre meurt.

   Où voulaient-t'ils aller? Nous ne le saurons. Il n'y a rien derrière à l'heure actuelle.