... je veux y aller maman...
J'écrivais cet article en anglais en premier et j'ai réalisé que pêcher utilise le mot " to fish" genre "poissonner" si on traduit littéralement. Et un poisson cela vie dans l'eau donc on peut trouver bizarre d'aller "poissonner'' dans le sable. Vous me suivez?
Bon comment suis-je arrivée là? En fait le jour d'avant j'étais en journée plage à l'hôtel avec Sandra, femme du chef, et elle a émis l'envie de manger des coques au dîner du lendemain. Comme je ne connaissais pas, j'ai suivi. Le lieu de la pêche fut la plage à marée basse de l'hôtel Paradis, le long du golf. D'ailleurs, quand j'avais joué au golf il y a quelques semaines, j'y avais vu des dames accroupies avec des sceaux, mais je n'avais pas regardé ce qu'elles avaient dedans.
La plage étant publique, un hôtel ne peut pas refuser l'accès par son entrée principale donc nous sommes passés par la grande porte ... avec les encouragements des gardiens.
J'avais un espèce de mini piochon pour "râteler" le sol. Pas besoin d'aller bien profond; d'ailleurs mieux vaut ne pas car la mer n'est pas loin et l'on "s'inonde" vite! J'ai gratouillé environ 1 h 15 mn et ai trouvé 19 palourdes. Peut-être que cela ne parait pas beaucoup, mais il faut dire qu'en même temps on papotait donc j'ai du mal à faire plusieurs choses à la fois. Mieux vaut lentement que pas du tout!
A la fin, ils (Sandra et famille) m'ont posé aux Pavillons pour mon dimanche traditionnel et sont rentrés à la maison avec un seau à moitié plein. Il semble qu'il restait encore un bon boulot pour nettoyer les coquillages car il y a énormément de sable et il faut faire plusieurs rinçages. Ensuite, la préparation se fait comme les moules marinières dans une grande cocotte avec du vin blanc. Sandra en prépare dans la coquille avec une persillade et les mets au congélateur pour les utiliser lors d'un apéro. Meilleur que les cacahuètes non?!
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